Devant la porte de Balthazar.

Trois étage plus bas ce tenait un Vashan jonglant avec deux pierres. Arretant en voyant Lliane, il leva la tete et lui sourit en coin.

Faisait longtemps tu trouve pas. dit-il avec un clin d'oeil.

Lliane plissa les yeux pour reconnaître la silhouette, et lacha un soupir d'exaspération. Serrant sa veste contre elle pour se protégere de l'air froid de la nuit, elle jetta un coup d'oeil à l'horloge, grimaça en voyant le 3h34 et lança un regard noir à Vashan. Il remarqua qu'elle semblait un peu étrange.

- Je sais pas ce que tu fais là, mais va-t-en, dit-elle sèchement à l'homme.

Un seul petit rire pu ce faire entendre de lui.

Moi aussi content de te revoir.

Regardant la porte, il reposa son regard sur Lliane.

Tu me laisse rentrer, j'ai quelque chose qui peut t'interressé.

Lliane eut un renfiflement un peu méprisant.
- Il est 3h du matin, et je ne te laisserais pas entrer même si c'était le jour, alors attend à demain, répliqua-t-elle d'un ton maussade.

Pas besoin d'être un géni pour comprendre qu'elle était fatiguée, et de très mauvaise humeur.

Gardant son expression, mais prenant un air presque imperceptible de sadisme, il dit toujours de la meme voix.

Regarde soit tu me laisse rentrer gentillement ou soit je rentre par la force. Bien que les deux me soit plaisante, une va etre moins bruyante et plus esthetique pour te parler. Aller c'est important, tout recommence.

Une voix féminine venant près de Vashan se fit entendre. Une jeune femme en armure d'un noir d'ébène se détachait de l'ombre et semblait en même temps s'y fondre. Ses yeux d'un bleu éclatant faisait contraste avec la nuit noir, ceux-ci se voyait très bien.

- Dégage sale morveux, va donc jouer dans ton bac à sable et rejoint les asticots qui te sert de patron. Surtout qu'il y en a une déliminer... si tu ne veux pas être le prochain sur ma liste, tu ferais mieux de déguerpir. Les déchets tel que toi on peut s'en passer ! Si la dame dit non c'est que c'est non ! Ta compris, jouvenceau ?

La voix était menacante, pleine de colère et de fureur.

Le regard de l'adolescente se durcit, et sa voix prit un accent enflammé.

- Tu crois que les menaces vont faire quelque chose? Tu rentre, et la police viendra, où bien je te chasse! Tu me prend pour une petite fille sans défense ou quoi? Revient demain! Je ne fais plus partit des Ténèbres, alors fous moi la paix et oublie-moi!

Elle serait bien rentré chez elle, mais elle doutait qu'il risquerait de défoncer la fenêtre (après avoir escaladé les trois étages). Et les coûts de réparations risqueraient d'être assez conséquent. Elle se contenta donc de le foudroyer du regars, lui enjoingnant de décamper d'un geste éloquent de la main.

Elle allait repartir dans une nouvelle lancée, mais Gabrielle surgit, ce qui la rendit muette de surprise. Elle cligna des yeux, et se pencha un peu au-dessus de la fenêtre pour voir ce qui allait se passer, prête à tout. Elle lança à l'Ange déchue un regard brillant de reconnaissance

Perdant son sourire, il ne ce retourna meme pas.

C'est dommage de ce faire remercier comme sa, Malygos ou qui que tu soit. Je t'est laissé entré dans notre royaume et le detruire, tu pourrait au moins t'ecarter de mon chemin, non?

De toute facon il faut que je parle a la dame quelque instant, et la rue a souvent trop d'oreille pour en parler avec 3 etages de distance. Alors si tu veux aps que tout recommence tu la ferme et Lliane faut que je te parle, et crois moi c'est serieux!

Elle apercut du coin de l'oeil le regard de Lliane. Elle eut un petit sourire intérieur, ne voulant pas le montrer.

- Tu revient demain ou tu ne reviendra plus jamais ! J'utilise les idiot dans ton genre et si tu es trop innocent tu n'as qu'à te blâmer, stupide démon ! Ceci est mon dernier avertissement, tu déguerpis ou tu meurs !

Son gant commenca à s'auréoler d'une lueur blanche.

Poussant un soupir exasperé, il ce retourna.

Regarde petit, laisse moi parler sa finis dans 5 min et tout le monde rentre chez lui.

Un cri de fureur aigu naquit des lèvres de la jeune femme. Son bras droit tendit vers l'avant, nimbé d'une lumière blanche éclatante.

- Kamisama Hikari !!!

Le rayon d'un blancheur absolu vint frapper directement Vashan, impossible pour lui d'éviter l'attaque. ( 2 dégats d'Énergie Positive, + effet. )

[ L'Administrateur te dira ce que l'effet te fait ]

Un espression froide barrait le visage de la jeune femme de 5 pied 4.

- Je hait les démons...

Elle n'avait toujours pas bouger de sa place acouder près de la porte d'entré du bâtiment. Elle se fondit de nouveau avec les ombres.

Un murmure s'entendit.

- Ashen va donc rejoindre Lliane en haut. Il peut rester des démons dans les parages, du moin celui-là reviendra pas nous ennuyer pour l'instant.

Un sifflement lui répondit.

D'une voix forte et profonde, quelqu'un parla.

Voyons, depuis quand on elimine des démon avec des petites lampes de poche. Toujours dans le champs a ce que je vois. Alors Lliane tu veux parler ou tu veux un autre carnage. HAHAHAHA!

Il etait presque impossible de situer la voix vu la resonnance.

C'est ton combat, NON ? HAHAHA!

Lliane était restée interloquée de la violence des conflits, mais elle leva les yeux au ciel en pousant un soupir en entendant Vashan parler. Elle examina le sol, et prenant son appuie de sur la fenêtre, elle enjamba le rebord, et sauta lestement dans le vide. Elle se rattrapa à l'escalier de secour et monta maladroitement dedans, pour déscendre tranquillemment les marches une à une, mine de rien. Elle avait toujours son apparance de simple adolescente, contrariée en se moment.

- Vashan, dit-elle fortementau vide en atteingnant le sol cimenté, pourquoi c'est si important? Y'a rien de dur a comprendre qu'il est tard, que tout le monde est fatigué et qu'il faut seulement attendre le lendemain, non?

Elle croisa les bras sur sa menue poitrine, et prit un air plus irrité. Elle balaya du regard les alantours, cherchant Gabrielle, mais ne la voyant pas, continua a s'adresser à un point invisible dans le ciel. Son ton de voix se fit moins calme, plus autoritaire.

- Alors attend demain, avant de faire des blessé inutiles, d'accord? Le seul carnage qu'il y aura ici c'est TOI si tu coninu En fait, je me fiche de ce que tu veux me parler. Je ne veux plus avoir affaire à toi, c'est fini!

Là, Vashan pu, de son perchoir, enfin voir ce qu'elle avait de différent. Dans ses yeux ne brillaient plus la flammes de la défaite et de la soumission. Ils luisaient maintenant d'un éclat sauvage et vengeur. Même sa stature semblait s'être altérée. Elle était aussi fragile qu'avant, mais se tenait droite et fière, la tête levée et le menton redressé. Quelque chose lui dit qu'elle avait vraiment changé, et que la victime avait disparut, remplacé par une chasseuse sur d'elle.

Un rire sonore et amusé retentit partout.

Peut-etre, mais ils sont de retour! Il faut a nouveau choisir son camp! Mais il semble que vous ayez déja choisie.

Le rire augmenta, encore plus amusé.

Enfin la guerre commence, on va bien s'amusé!

Un enorme bruit vint d'une ruelle plus loin et un bruit de pas de course pu ce faire entendre.

Gabrielle apparut, les sens en alerte. Elle fixa Lliane un instant...

- Bon... il semble qu'il sois partit. Cela est caractéristique des impurs, il ne fallait pas en attendre moin de sa part...

Elle s'accouda près de Lliane contre le mur. Elle garda le silence.

Lliane était silencieuse aussi. Elle regarda quelques instant Gabrielle, un peu gênée. C'était la première fois qu'elle la voyait vraiment, et elle avait de la difficulté à se représenter cette femme comme la personne qui guidait Balthazar depuis tout ce temps. En même temps, elle sentait une étrange énergie courir dans ses veines malgré son épuisement. Elle croisa nerveusement ses mains sur ses cuisses après avoir entortillé une mèche puis de l'avoir placée derrière une oreille.

- Euh... Merci Gabrielle, finit-elle par dire. J'aurais pu me débrouiller seule mais... hum, heureuse de faire ta connaissance.

- De rien. dit-elle avec le sourire. En fait nous nous connaissons même si j'imagine très bien pour toi que je dois te sembler nouvelle mais je ne suis pas très différente que mon apparence masculine même si imperceptiblement je suis sûr que j'ai plus de classe et de féminité dans ma vrai apparence.

Elle émit un petit rire cristallin.

- Je suis sûr que tu aurais pu te débrouiller seule mais... j'ai quelque difficulté avec les démons. Moi et eux sommes très... différent et enclin à se battre. elle roula des yeux.

Lliane hocha la tête, car c'était vrai qu'elle n'était pas si différente que Balthazar (aussi jolie), puis haussa les épaules, car ça ne changeait rien. Elle savait qu'elle lui avait déjà parler, mais dans ce corps, cela semblait plus réel... Elle avait maintenant vraiment conscience que ce n'était plus la même personne que son avis.

Lliane soupira, et observa le ciel. Elle aurait bien aimé voir les étoiles, mais d'épais nuages les cachaient, palit par les lumieres de la ville. L'adolescente tâta distraitement son nouveau diadème, qui s'était incrusté, comme par choix, sur la face dorsale de son medaillon. Un signe? Peut-être. Elle prit consciente qu'elle avait froid, et qu'elle commençait à être passablement trempée. En effet, une bruine glacée tombait doucement du ciel, si fine qu'on aurait dit du brouillard. Ses cheveux étaient plaqués par la pluie sur son corps, et elle sentit un légé frisson.

- Bon et bien, je vais rentrer moi... J'ai froid, et j'ai besoin de sommeil. Demain, j'aurai beaucoup à faire...

Elle se leva, prête à gravir l'escalier de secour, glacé par l'humidité et le froid de la nuit.

- Je te suis dans peu de temps. S'il y a quoi que ce soit, entre dans ma chambre.

Gabrielle attendit un peu et rentra elle aussi.