La petite malade

« Pression normal, elle semble bien respirer... »

Lliane pouvait entendre des voix et se sentais aussi très faible, trop faible pour se lever. Elle se força à ouvrir les yeux. Quoi que sa vue lui fesait encore défaut, elle pouvait distinguer les lits, les rideaux et les autres objets qui constitue une chambre d'hôpital. À ces côté une personne de grande taille à la voix grave et une petite dame qui approuve. La voix grave s'approcha soudainement de Lliane et lui dit doucement:

« Tu t'es évanouis, le directeur a appellé une ambulance et te voilà ici. Nous ne savons pas encore exactement ce qui t'es arrivée mais ne t'en fais pas, tu n'as rien à craindre. Pour l'instant repose toi, je reviendrais te voir et te parlé un peu plus tard. »

Les deux personnes sortirent tranquillement de la pièce en fermant doucement la porte derrière eux. Lliane ne pouvait plus retenir ces yeux ouverts et se rendormit immédiatement.

Lliane gémit dans son sommeil. Elle était dans un océan de brume bleutée, où elle flottait et dérivait par intermitence... Plusieurs sihouette s'approchaient, l'effleuraient puis reculait. Elle avait peur. Puis elle vit une personne qui venait lentement, sa féminine sihouette bien visible à travers le brouillard. Alors que Lliane criait pour faire fuir tout ses spectre, la femme s'approcha, et elle vit ses long cheveux. Elle tenait quelque chose dans ses bras. Lliane eut la vision d'un garçonnet aux cheveux brun.
Alors elle cria et tenta de se jeter sur le femme. Mais la femme, d'une bouchée gigantesque, avala l'enfant, et Lliane tomba...
Lliane se réveilla en sursaut, son maigre corps couvert d'une sueur froide. Elle parcourut, affolé, la chambre du regard avant se recouchée sur son oreiller, son coeur battant à tout rompre. Une horrible migraine lui martelait le crâne, et elle se sentit comme vidée de son énergie. Elle sentait une brulure et un pensement sur sa tempe, là où elle avait heurtée le bureau.
- J'ai mal... murmura-t-elle vaguement, frissonante.

Cela vient souvent de paire avec la victoire...

Sur une chaise vide il y a quelques secondes, Vashan était assis et regardais Lliane d'un air neutre.

Lliane sursauta en le remarquant, et le désespoir quitta immédiattement son visage ravagé pour faire place à de la colère.
- Comment tu es arrivé ici? siffla-t-elle avec irritation. Va-t-en!
Elle avait de la difficulté à garder les yeux ouverts, mais elle était surtout furieuse de ne jamais pouvoir être en paix, de ne jamais pouvoir s'éloigner de sa deuxième vie.

Il la regarda d'un air presque offusqué, digne de son sarcasme habituel, et dit calmement :

Tu n'aime pas la visite d'ami proche?

Lliane se laissa tomber sur son oreiller, la vue voilée. L'effort qu'elle avait mit pour lui répliquer l'avait épuisé, si petit soit-il.
Elle fixa un instant le plafond, luttant contre son étourdissement. Puis elle le fixa droit dans les yeux, et lui répondit avec lassitude.
- Pour le peu d'ami que j'ai, tu n'en fais pas partit, Vashan, murmura-t-elle presque piteusement.
Lliane avait d'autre chose en tête que de se préocuper des états d'âme d'un de ses "collègues". Elle ferma les yeux, écoutant son coeur battre en silence. Ses cheveux trop pâles étaient éparpillés sur l'oreiller, et elle avait l'air, encore plus que d'habitude, d'une pauvre enfant seule et fragile.
- Qu'est-ce que tu fais ici, finit-elle par dire faiblement.

Je guet, c'est tout.

dit-il en reprenant son air habituel.

- Mouais c'est ça... Tu devrais en profiter plutôt, fit-elle sarcastiquement. Je suis à ta merci, tu devrais m'achever, non? Ça ferais un obstacle de moins sur le chemin du pouvoir...
Lliane était fatiguée, elle avait mal au coeur et elle avait soif. Comment avait-il bien pu la retrouver! Elle sentait un tiraillement dans son ventre, et eut une pensée ironique. Elle n'avait pas été défaite par un monstre, un ennemi ou un guerrier non. Simplement par une sous-alimentation, c'était vraiment idiot!
Son air habituellement timide et hagard semblait évanouie par tout ce qui lui était arrivé ces derniers jours. Maintenant, elle serrait les machoirs d'un air frustré, maudissanr la vie qui s'acharnait contre elle.

La regardant a peine, il continua a parler.

Ta peut-etre raison. Reste que tu peut encore etre utile.

posant son regard sur elle avec un large sourire amusé il lui dit :

J'te l'avais dit!

Lliane renfila de dédain, et s'enfonça davantage dans ses oreillers.
- Quoi encore... tu avais dis quoi?
Elle lui jetta un regard morose signifiant clairement qu'elle aurait bien plus aimé dormir que de poursuivre cette futile convertation.

Reprenant son air qu'il a toujours, mais avec un quelque chose de différent, une simple parcelle de son air semblait avoir changer, mais sans que tu puisse savoir quoi.

Que tu gagnerais.

Lliane lui jetta un regard intriguée, surprise de ce compliment caché. Mais elle se rembrunit vite, son habituel voile de solitude et douleur recouvrant son regard naguère étincellent.
- Je n'étais pas seule, murmura-t-elle pour elle-même,partie dans ses souvenirs.
Elle porta la main à son medaillon comme pour se consoler.

Très doucement, Nancy frappa à la porte entrouverte de la chambre de la jeune fille qui avait été amenée plus tôt. Elle s'adressa à la jeune fille.

Excusez-moi de vous déranger. Je voulais savoir si vous aviez besoin de quelques choses. Une autre couverture ou à manger peut-être?

Lliane lui lança un regard morne, mais fit l'effort de se tourner un peu vers l'infirmière poir lui répondre. Elle n'avait pas faim, de toue façon, D'ailleurs, c'était la raison de sa venue ici. Elle n'avait jamais faim, et elle devait maintenant en subir les conséquence.
- Ça va, les transfusions me bourrent à merveillent, fit-elle ironiquement.
Elle désignait par ce fait la poche remplie d'un liquide jaunâtre qui tronait prèt de son lit au bout d'un support de fer. Un tube y jaillsait pour se planter dans la peau de son avant-bras. Elle était ainsi nourie...

Nancy répondit par un sourire en coin qui reflétait l'ironie de la jeune malade.

Parfois le moral aussi à besoin d'etre soigner, pas juste le corps. Je ne suis pas loin s'il vous faut quelques chose plus tard.

Nancy sortie de la piece en refermant la porte doucement sans faire de bruits.

Elle se dirigea vers le poste d'infirmieres presque en face de la chambre de la jeune fille et fis un peu de rangement. Elle regarda l'heure. Elle laissait encore 15 minutes à l'homme qui était dans la chambre si apres ce temps il n'était pas sorti, elle irait lui rappeler que la jeune fille était à l'hôpital pour une bonne raison et qu'elle avait besoin de repos.

Jetant un regard a l'heure, il reposa son regard sur Lliane.

Bon je crois qui est temps que je parte. Mais oublie pas, je garde un oeil sur toi.

En ce levant de sa chaisse, un autre vashan identique y était assis, il ne dit qu'un simple Salut! a Lliane et partie ce cacher dans son coin. Celui-ci semblait plus souriant et enjoué que le vrai, ce qui le rendait presque agréable et attrayant. Le vrai, lui, ne ce soucia pas de son double, comme si ce fut la plus naturelle des choses qu'il soit là.

Je repasserais peut-etre... dit sur un ton neutre et sans intonation. Au dernier moment, quand il ce retourna vers la porte, Lliane vit un éclat rouge d'un pendentif qu'il portait au cou. La pierre au bout ressemblais a un rubis. À ce moment il partit.

Lliane poussa un soupir de soulagement et d'irritation. Jettant un dernier regard las à Vashan no2, elle enfouis son visage sous la couette, se roulla en boule (sauf son bras relié à la transufusion), et s'endormit, épuisée. Avant, elle murmura une petite phrase.
- Réveille-moi avant le combat...

Lliane crut entendre pendant son sommeil un léger roucoulement mais ne se réveilla pas.

Elle rêva du 8ième niveau de l'enfer. Un homme d'apparence anodine dont se voyait un autre être flou par dessus, Balthazar, marchait dans ce niveau de l'enfer. Il parla comme pour lui-même mais elle savait que le message lui était addresser.

" Vashan a été naif, grâce à lui l'enfer à été infiltrer par un agent du Bien. Tu peux répéter ceci à tes compagnons, Lliane. Maintenant la vermine qui commande les pauvres vermisseaux de Satan sera détruite. "

Ensuite il y eut un combat entre Béryl et le corps que semblait posséder Balthazar. Béryl fut détruite et Balthazar disparu.

( Tout ce passa comme décrit dans le RP adéquat, 8ième niveau de l'enfer / Un nouvel arrivant. )

Le vashan assis dans le coin de la pièce ouvrit un oeil et sourit.

Th th th petite Lliane,dit-il avec un large sourire amusé. je ferais bien de te suivre pour éviter tout bêtisse.

À ces mots il ce leva et commenca a suivre Lliane.

Lliane se retourna et mit ses points sur ses hanches, l'air vraiment furieuse. Ce changement d'attitude était vraiment destabilisant face à al docile adolescente qu'elle était normallement, et elle semblait vraiment, mais vraiment en colère.
- Toi, j'en ai marre, cracha-t-elle avec hargne, criant presque dans le couloir. Laisse-moi tranquille enfin, je veux la paix! Mêle-toi de tes affaires, tu me pousses vraiment a bout, va te faire tuer quelque part!
Elle resta pantelante, ses yeux lançant ses éclairs. Sa peau n'avait plus sa maladive pâleur d'hier, mais elle était quand même blanche de colère.

Hep, moi je suis les ordres! dit-il d'un ton enjoué. Il semblais amicale et transferais une certaine joie quand on le voyais.

Je suis les autres finalement, méhé, mais bon... faut je regarde ou tu vas, et, si tu le dis a personne, je pourrais, esperons le bien, on ne sait jamais que peut-etre je pourrais t'aider.

Il avait un large sourire amicale et attirait une certaine confiance.

Alors?

Lliane sembla encore enfler de colère, et malgré sa petite taille, c'était inquiétant. Les lumière dans el couloir tremblotèrent, et elle pointa un doigt furieux sur lui.

- Laisse moi tranquille, hurla-t-elle, attirant l'attention de tout le monde dans le corridor.

Tu pu voir ,avec la variation de la lumiere, que le Vashan sembla regarder autour avec un air interrogateur et il reposa son regard sur toi avec une expression triste.

Pauvre petite Lliane, si seulement tu etait plus cooperative, ce n'est pas en attirant l'attention sur moi que tu va reussir a me faire partir.

reprenant automatiquement son air enjoué et amusé.

Alors que moi je pourrais tres bien attirer lattention sur toi en ce momentdit-il alors avec un large sourire. Maintenant tu veux mon aide ou pas ?

- Non bon!

Alors je vais simplement te suivre, voila! Toujoours avec son large sourire.

Lliane ouvrit la bouche pour lui gueuler autre chose, mais se ravisa, tentant une autre technique, bien que bouillantte de colère.

- Écoute, je suis fatiguée, d'accord? Je ne fais que retourner chez moi, aller va-t-en et ... mmphm!

Elle lui tourna rageusement le dos, et partit à grands pas. Elle savait qu'on risquerait de voir d'un bien mauvais oeil qu'une patiente avait disparue, mais elle n'en avait cure.

À sa sortie de L'hopital, Lliane frissona dans l'air froid de la nuit. Elle n'avait dormie que quelques heures, mais à aprs une légère lassitude, elle se sentait expetionnellement bien, mieux que depuis des semaines.
Jettant un regard en arrière, elle nota avec irriation que Vashan (ou la chose qui lui ressemblait), ne l'avait toujours pas lâchée.

Alors, elle bondit dans la nuit, et s'enfonça dans une série de ruelle à toute vitesse. Les ténèbres engloutirent en un clin d'oeil son corps maigre, et Vashan la perdit ainsi de vue.

(Pouvoir de de dissimulation dans l'ombre)

Bon il est temps d'aller faire mon rapport.

Gardant un sourire d'une personne qui s'amuse,il emprunta une ruelle différente de celle de Lliane. De toute façon, il allait etre la-bas avant elle.